Le ménage s’impose. Merci à vous de le faire…
Finalement, on se rend compte que rien n’a changé depuis les années 1960-70 : pour une poignée de gens sincères et désintéressés, tous les autres sombrent dans l’idéologie, le new age, la stupidité, l’autopromotion, l’inévitable vedettariat et l’imparable commerce.
Sur l’humanité on ne peut fonder de grands espoirs. Les plus nobles idées, lorsque enfin elles se démocratisent, sont immanquablement défigurées, et pour finir, trahies.
Il n’y a qu’avec l’écologie que je suis plus clémente, car une planète saine est un droit fondamental des animaux et que je n’ai pas perdu l’espoir qu’elle rime un jour avec véganisme et antispécisme.
Nous sommes d’accord. Notre intérêt pour l’écologie a toujours été, avant le véganisme, un engagement pour les autres êtres vivants et non seulement les humains. Encore faudrait-il que l’écologie soit autre que celle défendue aujourd’hui. Et puis ce terme de « le vivant », c’est tellement un dévoiement du réel. Mais la société du spectacle n’a pas – visiblement – encore baissé le rideau.
K&M
Il est bien certain que l’écologie a été elle aussi récupérée et trahie…
Quant aux termes « vivant », « biodiversité », « environnement », ils sont techniques, froids, conformes au novlangue des politiciens et technocrates en place.
Hello ! De rien de rien. Oui, c’est vrai, toutes sortes de mouvances dérivantes font leur lit du climat géopolitique, de la nécessité d’écologie, etc., et l’animalisme n’est pas exempte. Ces comportements sont très souvent proches de l’extrême droite, qu’ils soient fabriqués par elle ou s’y imbriquent avec le temps. Pendant ce temps-là, les animaux ne gagnent rien à l’affaire. K&M
Le ménage s’impose. Merci à vous de le faire…
Finalement, on se rend compte que rien n’a changé depuis les années 1960-70 : pour une poignée de gens sincères et désintéressés, tous les autres sombrent dans l’idéologie, le new age, la stupidité, l’autopromotion, l’inévitable vedettariat et l’imparable commerce.
Sur l’humanité on ne peut fonder de grands espoirs. Les plus nobles idées, lorsque enfin elles se démocratisent, sont immanquablement défigurées, et pour finir, trahies.
Il n’y a qu’avec l’écologie que je suis plus clémente, car une planète saine est un droit fondamental des animaux et que je n’ai pas perdu l’espoir qu’elle rime un jour avec véganisme et antispécisme.
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Nous sommes d’accord. Notre intérêt pour l’écologie a toujours été, avant le véganisme, un engagement pour les autres êtres vivants et non seulement les humains. Encore faudrait-il que l’écologie soit autre que celle défendue aujourd’hui. Et puis ce terme de « le vivant », c’est tellement un dévoiement du réel. Mais la société du spectacle n’a pas – visiblement – encore baissé le rideau.
K&M
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Il est bien certain que l’écologie a été elle aussi récupérée et trahie…
Quant aux termes « vivant », « biodiversité », « environnement », ils sont techniques, froids, conformes au novlangue des politiciens et technocrates en place.
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Et bien… c’est édifiant! Merci pour ces informations, je n’ai encore jamais été confrontée à de tels mélanges, mais je serai d’autant plus attentive.
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Hello ! De rien de rien. Oui, c’est vrai, toutes sortes de mouvances dérivantes font leur lit du climat géopolitique, de la nécessité d’écologie, etc., et l’animalisme n’est pas exempte. Ces comportements sont très souvent proches de l’extrême droite, qu’ils soient fabriqués par elle ou s’y imbriquent avec le temps. Pendant ce temps-là, les animaux ne gagnent rien à l’affaire. K&M
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