UN HOMME À CONNAÎTRE, ET SES HISTOIRES D’ANIMAUX PLUS VRAIES QUE NATURE DANS « LOBO LE LOUP » DE E. T. SETON
« L’homme est le plus cruel de tous les animaux, il est le seul capable d’infliger une douleur à ses congénères sans autre motif que le plaisir. »
Mark Twain
« Tous les êtres vivants éprouvent de la peur en présence du danger. Le vrai courage consiste à faire face malgré la peur, et tu n’en manques pas. »
In Le Magicien d’Oz, Lyman Frank Baum — 1900.
« C’était la plus belle louve que j’ai jamais vue. Son manteau était en parfait état et presque blanc. […] elle lança le cri de ralliement de sa race. »
p.27 in Lobo le loup
On connaissait Henry David Thoreau,
On connaissait Emerson (Ralph Waldo),
On connaissait John Muir, Mark Twain et Jack London,
On connaît à présent Ernest Thompson Seton.
C’est-à-dire qu’à la lecture de Lobo le loup, un joli recueil de nouvelles d’E. T. Seton proposé par les éditions José Corti dans la collection Biophilia, on fait plusieurs découvertes : celles d’un homme, d’un pays, d’une époque, et surtout des animaux qui vécurent à Currumpaw, cette très vaste étendue de pâturage au nord du Nouveau-Mexique.
