NOTRE POTAGER — AUTOMNE 2023 (VIDÉO)

NOTRE POTAGER — AUTOMNE 2023 (VIDÉO)
  Troisième année de travail au jardin et au potager toujours. Dans la vidéo qui suit, on vous montre nos avancées depuis la fin de l’été, nos récoltes automnales, et comment nous avons préparé le terrain pour la saison prochaine.
K&M
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POTAGER AN II. ÉCO-STRESS. PROBLÈME DE L’EAU.

POTAGER AN II. ÉCO-STRESS. PROBLÈME DE L’EAU.

 

 

 Potager
   Salut à tou.te.s !
  L’an dernier, après notre arrivée en Bourgogne, nous avons démarré un potager. Hélas, comme la saison printemps-été 2021 s’est avérée très pluvieuse et plutôt froide, il aura été difficile d’obtenir de belles récoltes. Cette année, nous avons commencé de travailler le potager au mois de mars en ayant pris soin de l’amender et de le pailler durant tout l’hiver. Puis, agrandissement ou regroupement des parcelles, désherbage, grelinage, apport de composts, de purin d’ortie maison, réchauffement du sol et enfin mise en place de carrés potagers et de mini serres du commerce ou fabriquées avec ce que nous avions sous la main. Courant mars, K. s’est occupée de faire quelques semis (haricots, courgettes, tomates, salades, cornichons, concombres). Lire la suite

LE POTAGER, OU LA CULTURE VÉGANE PERMANENTE

   Salut !
  Ça fait un bail qu’on n’a pas fait de billet d’humeur sur le blog. Remarquez, depuis quelques mois, nous publions généralement beaucoup moins que fut un temps. Y a-t-il une bonne raison à cela ? Eh bien, bonne on ne sait pas mais la raison la voilà : depuis août 2020 nous avons « travaillé » à concrétiser un projet de déménagement — le choix d’un changement de vie mûrement réfléchi depuis plus de 15 ans ! Du coup, bah vous ne nous verrez plus aux vegan places parisiennes, aux marches contre les abattoirs partant de la place de la République, aux Veggie Pride à Stalingrad et… wait : c’est pas très vrai. Pour la plupart vous nous avez croisé.e.s sans nous voir, vu qu’on ne s’affiche pas. Donc vous ne nous croiserez plus sans nous voir, notre changement de vie signifiant que l’on va — encore moins qu’avant, c’est dire ! — « courir partout ». Pour celleux qui l’ignoraient, nous avons vécu ensemble dans la banlieue est de Paris durant 21 ans, et nous sommes depuis quelques semaines installé.e.s en Bourgogne. Ce « retour aux sources », c’est celui de notre exode urbain dans le but d’épouser pleinement la vie simple que nous avons toujours menée. Nous n’appliquerons ni décroissance ni autonomisme ou survivalisme car nous avons un crédo bien moins égo-typique et n’aspirons qu’à occuper en ce bas-monde une place humble, comme qui dirait discrète, et c’est avec l’enthousiasme des gens réalistes (ni optimistes, ni pessimistes quoi), que nous commençons à mettre en œuvre la voltairienne devise — et cette fois-ci très littéralement : Il faut savoir cultiver notre jardin. C’est aussi plus exactement au potager que nous travaillons désormais. Bien entendu, nous ne délaissons pas notre grand intérêt pour les arts comme la littérature, la peinture ou la musique, et la défense de la cause animale, mais quel ravissement que de voir pousser nos légumes après avoir bien greliné, bêché, biné, butté, semé, arrosé, paillé, composté, etc.
   Comme rien ne se passe vraiment jamais comme prévu, ce changement de vie aura connu quelques aléas, avec au premier chef les inconvénients d’être reconfiné.e.s en plein dans nos recherches. Quand on pense que le coronavirus est dû à l’exploitation animale et qu’on est véganes, on a parfois été bien frustré.e.s par la situation. Mais dans ce monde où le climat également est en grand changement, il faut relativiser et profiter du bien qu’on peut encore en tirer tout en sachant qu’il ne doit rien à l’usage d’autrui, non-humain.e.s ou humain.e.s. Bref, après le poids des mots le choc des photos. Nous voulions, pour remercier tou.te.s celleux qui ont la gentillesse de nous suivre depuis plus de 6 ans sur le blog pour certain.e.s d’entre vous, vous donner de terre-à-terre et bonnes nouvelles comme… nos premières pommes de terre. Ce n’est pas à proprement parler de la permaculture parce qu’on n’a pas encore étudié toute la méthodologie, toutefois c’est 100% naturel et surtout 100% végane. Et les escargots de Bourgogne peuvent à nos côtés vivre tranquilles.
Bien à vous,
K&M

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MULTIPLIER SES PLANTS DE TOMATES

quand le gourmand devient plantNouvelle expérience de « je mets un végétal dans un verre d’eau et je vois ce qui se passe ». Cette fois, l’idée m’a été soufflée par une collègue qui a vu  sur le net qu’en prenant les gourmands de tomates et en les mettant dans l’eau, on pouvait multiplier ses plants et avoir un rendu de fruits plus tardif.
Ni une, ni deux, me sentant l’âme d’un Tistou *, je tente l’expérience.
Au bout de 2 semaines, j’obtiens de belles racines et décide de mettre en terre cet ersatz de plant de tomate.
Histoire à suivre…
K.
* Pour ceux qui ne connaissent pas : Tistou les pouces verts est un roman pour enfants de Maurice Druon de 1957. Un conte écolo avant l’heure, anti-militariste dans la lignée du Petit Prince. A lire petit ou grand.